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La Petite Zota : L’icône de la danse afro-urbaine partage son art chez DANC’ART 

La petite Zota, de son vrai nom Ange Patricia Kanon , est une danseuse ivoirienne qui s’est imposée sur la scène africaine grâce à son talent, son charisme et sa collaboration avec l’artiste coupé-décalé Serge Beynaud.

Connue pour ses mouvements énergiques et sa capacité à fusionner différents styles de danse, la petite Zota est devenue une figure incontournable de la scène musicale et dansante en Côte d’Ivoire et au-delà.

En 2024, elle a décidé de partager son expertise et son savoir-faire en devenant professeure de danse afro-urbaine au sein de l’école DANC’ART, une école de danse située dans les Hauts-de-France, à Lille et à Tourcoing.

Cet article revient sur son parcours, ses collaborations marquantes, son influence sur la scène artistique africaine et internationale, ainsi que son nouveau rôle de professeure chez DANC’ART. Nous examinerons également comment elle fusionne les traditions africaines avec des influences modernes pour créer des cours d’afro-urbain uniques et dynamiques. 

Chapitre 1 : Les débuts de la petite Zota

Originaire de la Côte d’Ivoire, Ange Patricia Kanon , alias la petite Zota, a commencé la danse dès son plus jeune âge. Dans une culture où la danse fait partie intégrante de la vie quotidienne et des célébrations, elle s’est rapidement découvert une passion pour cet art. Inspirée par les rythmes traditionnels africains et le coupé-décalé, un genre musical populaire en Côte d’Ivoire qui allie musique électronique et danse, elle a décidé de se lancer sérieusement dans la danse. C’est lors 

d’une émission télévisée que Serge Beynaud, célèbre chanteur et producteur ivoirien, repère et met d’accord avec la petite Zota. Ce dernier est impressionné par son talent brut, sa capacité à improviser et sa maîtrise des mouvements énergiques caractéristiques du coupé-décalé. Dès lors, elle devient sa danseuse attitrée et commence à faire partie de ses spectacles et clips vidéo. 

Chapitre 2 : La collaboration avec Serge Beynaud

 La collaboration entre la petite Zota et Serge Beynaud a été un tournant décisif dans sa carrière. Elle a non seulement contribué à l’essor de sa popularité mais lui a également permis d’affiner son style de danse et de se professionnaliser. Les clips vidéo dans lesquels elle apparaît, notamment ceux des titres comme “Kababléké”, “Mawa Naya” ou encore “C’est dosé”, ont eu un impact considérable sur la scène africaine, plaçant Zota au centre de l’attention. Dans ses prestations, la petite Zota se distingue par son style qui mêle à la fois la tradition et la modernité. Ses mouvements puisent dans les danses traditionnelles africaines, qu’elle modernise avec des influences urbaines et contemporaines. Cela lui a permis de créer une signature propre, qui allie la puissance des danses africaines à la créativité et à l’improvisation du coupé-décalé. La petite Zota est devenue un visage emblématique du coupé-décalé et de la danse afro-urbaine, influençant de nombreux jeunes danseurs et danseuses à travers le continent. Elle a également eu l’opportunité de participer à des événements de grande envergure, en Côte d’Ivoire mais aussi à l’étranger, consolidant ainsi sa réputation internationale. 

Chapitre 3 : L’influence internationale et la reconnaissance

Avec le succès de Serge Beynaud sur la scène internationale, la petite Zota a eu la chance de participer à de nombreuses tournées à l’étranger, notamment en Europe, en Amérique du Nord et dans d’autres pays d’Afrique. Ces expériences lui ont permis de découvrir d’autres styles de danse, d’autres cultures, et d’élargir ses horizons artistiques. En participant à des événements internationaux, elle a contribué à faire connaître et apprécier la danse afro-urbaine dans des contextes où ce genre n’était pas encore bien établi. En France, en particulier, elle a été accueillie avec enthousiasme, ce qui l’a poussée à envisager des collaborations plus durables dans le pays. En parallèle, la petite Zota a également été sollicitée pour des collaborations avec d’autres artistes et chorégraphes, confirmant ainsi sa place parmi les figures majeures de la danse en Afrique. Sa maîtrise de la scène, son énergie débordante et son souci de perfection font d’elle une artiste respectée tant par ses pairs que par son public. 

Chapitre 4 : La petite Zota à DANC’ART

 En 2024, la petite Zota a décidé de franchir une nouvelle étape dans sa carrière en partageant son savoir-faire et sa passion avec la prochaine génération de danseurs. C’est ainsi qu’elle a rejoint l’école DANC’ART, située dans les Hauts-de-France, à Lille et à Tourcoing, en tant que professeure de danse afro-urbaine. DANC’ART est une école de danse réputée qui propose une large gamme de cours, allant du Heels, à la Bachata, salsa au Danses orientales, en passant par les danses urbaines. Avec l’arrivée de la petite Zota, l’école a souhaité renforcer son offre en danse afro-urbaine, un style de danse qui connaît une popularité croissante en France et en Europe. Les cours d’afro-urbain qu’elle propose se déroulent chaque semaine, du mardi au vendredi, et s’adressent à un public large, allant des débutants aux danseurs plus expérimentés. Lors de ses séances, la petite Zota insiste sur l’importance de la connexion entre la danse et la musique, mais aussi sur la créativité, l’énergie et l’expression personnelle. Elle encourage ses élèves à se libérer des conventions et à explorer leur propre style tout en restant fidèle aux fondamentaux de la danse afro. 

Chapitre 5 : L’afro-urbain, une fusion entre tradition et modernité

Le terme “afro-urbain” désigne un style de danse qui puise dans les danses traditionnelles africaines tout en intégrant des influences urbaines et contemporaines. C’est un style dynamique, expressif et très physique, qui met en avant la richesse rythmique et culturelle du continent africain tout en se réinventant grâce aux apports modernes. Pour la petite Zota, l’afro-urbain est bien plus qu’un simple style de danse, c’est un moyen de transmission culturelle et de revendication identitaire. Elle se sert de son art pour rendre hommage à ses racines africaines tout en s’adaptant aux nouvelles tendances globales. Cette dualité, entre ancrage traditionnel et ouverture à la modernité, est au cœur de sa pédagogie à DANC’ART. Ses cours sont donc conçus pour enseigner aux élèves comment maîtriser les mouvements complexes des danses africaines, tout en les aidant à développer leur propre style et à s’approprier la danse comme un moyen d’expression personnelle. Les élèves sont encouragés à expérimenter, à innover et à mélanger différentes influences pour créer quelque chose d’unique. 

Chapitre 6 : L’impact de la petite Zota chez DANC’ART et dans la région des Hauts-de-France

L’arrivée de la petite Zota chez DANC’ART a eu un impact considérable, non seulement sur l’école de danse, mais aussi sur la scène artistique des Hauts-de-France. Sa renommée et son expertise ont rapidement attiré de nouveaux élèves, curieux de découvrir l’afro-urbain et d’apprendre aux côtés d’une artiste de son calibre. Au-delà des cours, la petite Zota a également participé à des événements locaux, notamment des spectacles de fin d’année, des stages intensifs et des démonstrations publiques. Ces initiatives ont permis de sensibiliser un public plus large à la danse afro-urbaine, tout en contribuant à la diversité culturelle et artistique de la région. En tant que professeure, la petite Zota est appréciée pour sa bienveillance, sa pédagogie accessible et son énergie communicative. Elle a su créer une véritable communauté autour de ses cours, où l’échange, le respect et l’entraide sont valorisés. Les élèves, qu’ils soient amateurs ou professionnels, bénéficient non seulement d’un apprentissage technique rigoureux, mais aussi d’une immersion dans l’univers unique de la danse afro-urbaine.  

La petite Zota est bien plus qu’une danseuse talentueuse ; elle est une ambassadrice de la culture africaine et une source d’inspiration pour des milliers de jeunes danseurs à travers le monde.

Son parcours, marqué par une collaboration fructueuse avec Serge Beynaud et une carrière internationale, lui a permis de se hisser au sommet de la scène afro-urbaine. Aujourd’hui, en tant que professeure à DANC’ART dans les Hauts-de-France, elle continue de transmettre sa passion et son savoir-faire, tout en contribuant à l’émergence de nouveaux talents.

Grâce à elle, l’afro-urbain trouve un écho toujours plus large en Europe, et son influence ne cesse de croître. L’avenir de la petite Zota semble encore prometteur, et il ne fait aucun doute que son empreinte dans le monde de la danse continuera à marquer les esprits pendant de nombreuses années. Sa capacité à fusionner les cultures, à innover et à inspirer fait d’elle une véritable icône dans le monde de la danse.

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